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Retour sur la libération de Julian Assange

Retour sur la libération de Julian Assange

Les Mutins de Pangée qui a beaucoup soutenu et milité pour la libération de Julian Assange revient sur les circonstances de « l’Affaire Assange ». Comment le fondateur de Wikileaks, d’abord considéré comme un héros dans toute la presse internationale, s’est retrouvé marginalisé et accusé d’espionnage ?  14 années d’emprisonnement pour avoir voulu informer l’opinion publique sur les pratiques, du gouvernement américain notamment, à travers le monde.

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PROCÈS ASSANGE : OÙ EN EST-ON ?

Depuis ses révélations en 2010, Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks connaît un simulacre de justice. Les États-Unis cherchent à tout prix à le juger sur le sol américain, où il risque jusqu’à 175 ans de prison.

La justice britannique annule en appel le refus d’extrader le fondateur de WikiLeaks vers les États-Unis. Cette décision est une parodie de justice. S’il est extradé, il risque la torture et la prison à vie. À ce stade, l’extradition n’est pas encore autorisée, la Haute Cour de Londres a annulé le refus d’extradition en première instance. À nouveau, et plus que jamais, nous appelons à la libération de Julian Assange et à l’abandon des charges retenues contre lui !

 

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La justice britannique annule le refus d’extrader le fondateur de WikiLeaks vers les Etats-Unis

Les hauts magistrats britanniques sont revenus sur la décision de la juge Vanessa Baraitser, qui s’était opposée à la remise aux autorités américaines de l’Australien.

LANCEUR D’ALERTE – Les hauts magistrats britanniques sont revenus sur la décision de la juge Vanessa Baraitser, qui s’était opposée à la remise aux autorités américaines de l’Australien

La Haute Cour de Londres a annulé, ce vendredi, en appel le refus d’extrader le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, vers les Etats-Unis, qui veut le juger pour une fuite massive de documents.

La Cour « autorise l’appel » formé par les Etats-Unis, a déclaré le juge Tim Holroyde. En d’autres termes, la justice britannique a annulé la décision de première instance et elle devra de nouveau statuer sur la demande d’extradition américaine.

Jusqu’à 175 ans de prison

Les hauts magistrats britanniques reviennent ainsi sur la décision initiale de la juge Vanessa Baraitser, qui il y a près d’un an s’était opposée à la remise aux autorités américaines de l’Australien âgé de 50 ans, invoquant le risque de suicide du fondateur de WikiLeaks. Dans sa décision vendredi la Cour estime que les Etats-Unis ont fourni des assurances sur le traitement qui serait réservé au fondateur de WikiLeaks en cas d’extradition, répondant ainsi aux inquiétudes de la juge de première instance.

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