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Depuis ses révélations en 2010, Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks connaît un simulacre de justice. Les États-Unis cherchent à tout prix à le juger sur le sol américain, où il risque jusqu’à 175 ans de prison.

La justice britannique annule en appel le refus d’extrader le fondateur de WikiLeaks vers les États-Unis. Cette décision est une parodie de justice. S’il est extradé, il risque la torture et la prison à vie. À ce stade, l’extradition n’est pas encore autorisée, la Haute Cour de Londres a annulé le refus d’extradition en première instance. À nouveau, et plus que jamais, nous appelons à la libération de Julian Assange et à l’abandon des charges retenues contre lui !

 

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